une nOuvelle harmony , un nouveau chapitre .

On m’a ensorcelée, je suis mourante que m’arrive-t’il. Je tremble encore après toutes ces heures. Je me sens si bête, ma tête est vide tu m’a troubler.je ne comprend pas , ni moi  ni ce qui m’entoure. Mon corps frisonne mon cœur pleure d’émotion brutale, la foudre. Je suis obsédé, je suis abusée, je me sens nauséeuse rien que de  songer à ce matin de pluie, à mon air gêné par l’eau dans mes cheveux, ce pas que tes mots on fait vers moi pour me retenir, je serais bien rester en toute sincérité depuis cela le temps c’est arrêter. Je ne compte plus rien que le souffle précieux qui me paraît mourir lorsque tu me sembles effacé. Qui suis je ? entre douceur et colère , brisure et éclat. Marcher sous la pluie l’air humide, voir l’eau me faire chavirer. L’envie de sautée, de me noyer de joie. Bloqué dans l’impasse ou tu n’est pas, je reste lasse sans faire de geste, je ne sais si tout cela est réelle. Je me fiche bien de tout je me sens vivre comme mourir. Je sens mon corps qui soufre depuis ces quelques secondes où je ne me suis jamais senti plus en vie. Je sais qu’il y aura un signe , je ne saurais m’empêcher de revoir ton aura. La torture ma pris, comme la vie est tumultueuse, elle nous fait rire aussi brusquement qu’elle nous étrangle.

le temps des rires passent '  ma vue restreinte et troublé par les vapeur douloureuse de l'absinthe et les son des guitares hurlante dans les tampes, quelques entrevue indescente..

et plus tu t'approche de la sauvagerie de mes envie qui  te tend un fil
mieux je m'écarte de toi

{ un deuil , requiem lux aeternam } plus aucun signe de vie . . . elle déménage et fuis . je n'est plus aucune envie . -> http://lacrimosarequiem.canalblog.com/

à ma mort , la délivrance . { senteur soulager , après avoir dévoiler une infime partie de tout se qui se cache , de tout se qu'on étouffe . . . }` ` comme dans une cage . mort a l'aube .

je mémerveillais . AGALLOCH -> not unlike the waves

je recommance , angain , and again . j'menmerde , de ce qui se compose et s'exstase . je geule , je pleure . l'atrite de mes menbres se fait ressentir d'apres mes abus , si tendre et délicat . c'est maintenat a leure tour de se manifester . et rien , pas même une brise de morsure . pas même une décadance de sang . pas même l'ombre d'une déchirure . et je rêve de trop , de trop loingt . les beaux jours n'on jamais commancer et voila qu'on me les dis fini . j'en ai marre de tout ces cul serrer au discours intellectuelle qui sont eux même dépasser quand on leur sort une réele sagesse pleine de simpliciter . et je ne parle pas d'obscéniter . je 'en crève plus . moi aussi j'peu t'envoyer chier . j'sui passer près d'la faille. et je craque . j'ère de trop de pensées . et je souhaite . . . je revois les même enculer défiler devant leur désir , telle des atarder devant leur chose . la notion de tromperie leur est égale . la question n'est pas combiens de temps vais-je pouvoir tromper ma femme sans qu'elle se sache ? . mais combiens de temps ma maitresse vas pouvoir tenir au secret sont amour . ? . . . trop de morale pour des queue sans cervelles . et j'me tape des barre en caressant tes fesses . parceque j'men fou de tout baiser . parceque sa recommance comme j'aime pas , comme j'mennuie pour ensuite regretter ? mais je ne souhaite qu'une chose que j'ignore . marcher sur l'eau la ou les fardeau de mon corp se dépose parmis l'écume . . . étrangle moi quand je jouie . que je puisse me sentire morte en plins orgasme .

je suis morte

parmis les pointes de mes cheuveux

tombée sur le sol.

nouvelle , sur nouvelle a perdre l'originale . je suis heureuse pour une fois , on n'aime la vraix moi . que je crois a chaque fois . mais j'ai de la chance et je profite . plaisante a la vie , enfin je respire un liberter que je savour dans ces baisées . rien de me manque , juste une odeur . rien ne part , je m'y attache . je soufle les écumes qui se brise devant moi , je leur lesse mes cheveux , perdu dans l'éparpillages de ces folles nuits . je coupe ce cordon de douleur , que j'en crois . que j'y pense , je vis . la peur en mon ventre , la confiance en mon coeur . j'avance plus que je n'y pense . mon tendre , cette tendresse inexploiter . loingt de nous , deus âmes proches ? tait -toi . embrasse moi . faute de frustration , je me noie . puis je sort , seule et determiner , que je fait les bon choix .

son respect ma aporter le bonheur que je lui souhaitais .

je te lance a la geule mon amour .

le passer reste au paSser .

je vous quitte .

tes os me transpercent , je mors a tout vas . ma tète se bas au vide et j'expire , je ne retient pas ton plaisir . oh mon amour . tendrement , mon soufle dans ton coup , ton odeur qui m'enivre , je te le dis au creu de ton oreil "seni seviyorum" . à celui qui me fait sourir , resté bonnement pensive . à celui auquel je ne controle pas mon envi de vivre .

" ailleurs . . . " très loin , où je ne suis plus a porter d'ateinte . j'ai un problème avec mon passer , mon enfance . je pense que je ne peu pas avancer plus loin avan de soigner sa ? ou c'est dans ma tête ? . mais si sa me touche ? je fait quoi .? et je ne supporte plus ces images . non , je n'en veux plus , je rejette . tout , tout . . . je ne me reconnaissais plus . non . rien . jamais rien . toujours . la fin . t'as pas compris j'en peu plus , je n'écrirais pas les détails j'ai fois en moi , même incertaine . mais la boite se ferme . QUE CETTE PUTAIN DE JOURNéE S ' ACHEVE ! la douleur a se stade n'a plus de son pour se crier . y'a des jours comme sa , maudi soient - ils .